Espace détaché, déconnecté, absent du quotidien, qui se trouverait en forêt.
Le lieu permet déjà d’être coupé du monde
Donc je suis restée sur une structure en bois assez fine qui propose plusieurs étapes, une montée immersive à la cime des arbres.
Le dernier étage est celui situé à la canopée, au niveau de la strate supérieure de la forêt, celui qui est vraiment détaché du monde, un étage au-dessus de tout, permettant de voir ce que l’on ne voit pas au sol.
De forme circulaire, pouvant représenter un chemin de pensées, de réflexion, sans avoir à revenir sur ses pas pour en sortir.
Une entrée faisant aussi sortie mais un chemin continuellement différent permettant de s’échapper un instant au-dessus de tout, tout notre quotidien, tout ce que l’on connait.
